A la suite de la grande crise énergétique, la ville a appris à vivre sans électricité.

Pont Alexandre III. Sans électricité et à cause du coût exorbitant des énergies fossiles classiques, le monde redécouvre et réinterprète des technologies alternatives : déplacements à cheval, bateaux à vapeur ou à rames, production des matières premières comme la farine au plus près des habitants avec des nouveaux moulins à eau installés sur la Seine. Le fleuve redevient un des axes principaux de circulation, les vitesses de déplacement étant équivalentes au transport terrestre. Quelques objets industriels encore utilisables subsistent, mais la majorité de la consommation des parisiens s’est concentrée sur les essentiels : produits frais et boissons pour l’alimentation, friperies pour s’habiller, livres d’occasion… Enfin, des métiers disparus renaissent : allumeur de lampadaires, maréchal-ferrant, distributeur de journaux à cheval en direct sur le marché…